À propos
Parcours cette page pour en découvrir plus sur moi et comment naviguer sur Voyage & Carapace. Cher voyageur, chère voyageuse, bonne lecture !
Salut, je suis Lucie
Voyageuse au coeur nomade, toujours en quête d'horizons nouveaux, tout en savourant le refuge de ma carapace, un espace sûr et personnel. Entre envie de découverte et besoin de stabilité, je suis à la recherche constante de clés pour m’ouvrir au monde sans perdre mes racines.
Cher voyageur, chère voyageuse, je te propose de partager cet équilibre vers lequel je tends, entre authenticité, inspiration et récits d’aventure — parce que chaque voyage est une occasion de grandir, juste un peu, hors de sa carapace.
Nous voyageons pour changer, non de lieu, mais d'idées.Anaïs Nin
Auteure de la série Journal
Mon profil de voyageuse
Il me tient à cœur de poser un cadre à mes récits de voyage. Pour cela, j’ai imaginé vingt questions dont les réponses dessinent mon profil de voyageuse. Elles sont là pour t’inviter à porter un regard curieux et critique sur mes conseils et expériences, afin que tu puisses garder ce qui te parle vraiment et laisser de côté ce qui ne te ressemble pas. Et toi, cher voyageur, chère voyageuse, comment aurais-tu répondu à ces questions ? Si tu te sens inspiré·e, je serais ravie que tu partages tes éléments de réponse via le formulaire de contact !
Mon premier voyage ?
Un séjour dans le nord de l'Autriche en tant que fille au pair à l'été 2015. C'est celui que je considère comme mon premier voyage, car décidé et réalisé (presque) sans la participation de ma famille.
Mon dernier voyage ?
Dix jours en Andalousie en mai 2025. J'ai aimé découvrir les grandes villes andalouses, mais j'ai surtout adoré me perdre sur les routes tortueuses et dans les petits villages autour de la Sierra Nevada !
Mon prochain voyage ?
Trois semaines au Maroc en avril 2026 pour visiter un pays (et un continent) inédit. Si le programme n'est pas encore totalement arrêté, il s'agira d'un road-trip, en bonne partie dans le désert...
Mon voyage de rêve ?
J'hésite, il y a tant de choix... j'adorerais partir pour une longue période de temps à la découverte du continent nord-américain, ou séjourner plusieurs semaines sur une île paradisiaque.
Mon premier voyage ?
Un séjour dans le nord de l'Autriche en tant que fille au pair à l'été 2015. C'est celui que je considère comme mon premier voyage, car décidé et réalisé (presque) sans la participation de ma famille.
Mon dernier voyage ?
Dix jours en Andalousie en mai 2025. J'ai aimé découvrir les grandes villes andalouses, mais j'ai surtout adoré me perdre sur les routes tortueuses et dans les petits villages autour de la Sierra Nevada !
Mon prochain voyage ?
Trois semaines au Maroc en avril 2026 pour visiter un pays (et un continent) inédit. Si le programme n'est pas encore totalement arrêté, il s'agira d'un road-trip, en bonne partie dans le désert...
Mon voyage de rêve ?
J'hésite, il y a tant de choix... j'adorerais partir pour une longue période de temps à la découverte du continent nord-américain, ou séjourner plusieurs semaines sur une île paradisiaque.
Pourquoi tout le monde devrait voyager selon moi ?
Selon Larousse, « voyager », c’est « l’action de se rendre ou d’être transporté en un autre lieu ». On peut le comprendre au sens géographique du terme, mais cela désigne aussi une véritable transformation mentale. Tout devient au moins un peu différent en voyage : ce que je vois, entends, ressens, goûte, mes repères, mes habitudes... C’est une occasion exceptionnelle d’en apprendre davantage sur les autres, mais surtout sur moi-même. Cela permet de challenger quelques expressions toutes faites : l’herbe n’est pas toujours plus verte ailleurs, sortir des sentiers battus est littéralement déconseillé dans beaucoup d’endroits, et l’achat d’un voyage rend peut-être plus riche, mais à long terme... Pointe d’humour mise à part, il ne s’agit pas d’aller loin ni de dépenser beaucoup. Vivre en Allemagne, dans la jolie ville de Düsseldorf, m’a impactée de manière incommensurable, et bien davantage que des escapades plus lointaines de quelques jours. Chacun devrait voyager pour ressentir ce dépaysement, au moins temporairement, et en tirer des apprentissages — pour rendre le monde un peu plus ouvert, compréhensif et résilient.
Un beau souvenir ?
Découvrir Szeged en septembre 2024 à travers les yeux de mon compagnon hongrois. Rien ne peut remplacer un local amoureux de sa région, et désireux d'en partager tous les coins et recoins, touristiques comme cachés.
Une sacrée galère ?
Je déconseille de faire du scooter sans vêtements longs et trousse de secours à proximité en Asie du Sud-Est... mais mon genou droit (100% guéri depuis) recommande assurément l'hôpital français d'Hanoï, visité en juillet 2019.
Une rencontre inattendue ?
Un médecin japonais qui m'a abordée en français, appris lors de son échange à l'Institut Pasteur, dans un petit izakaya enfumé en plein centre de Tokyo... grâce au Guide du Routard posé à côté de moi !
Un épisode insolite ?
Recevoir une assiette de haricots blancs au restaurant en Italie alors que je salivais à l'idée de déguster un bon plat de pâtes. J'avais commandé des cannellini et non des cannelloni, cela s'est joué à une lettre près...
Un beau souvenir ?
Découvrir Szeged en septembre 2024 à travers les yeux de mon compagnon hongrois. Rien ne peut remplacer un local amoureux de sa région, et désireux d'en partager tous les coins et recoins, touristiques comme cachés.
Une sacrée galère ?
Je déconseille de faire du scooter sans vêtements longs et trousse de secours à proximité en Asie du Sud-Est... mais mon genou droit (100% guéri depuis) recommande assurément l'hôpital français d'Hanoï, visité en juillet 2019.
Une rencontre inattendue ?
Un médecin japonais qui m'a abordée en français, appris lors de son échange à l'Institut Pasteur, dans un petit izakaya enfumé en plein centre de Tokyo... grâce au Guide du Routard posé à côté de moi !
Un épisode insolite ?
Recevoir une assiette de haricots blancs au restaurant en Italie alors que je salivais à l'idée de déguster un bon plat de pâtes. J'avais commandé des cannellini et non des cannelloni, cela s'est joué à une lettre près...
Un moment où je n'ai pas su sortir de ma carapace ?
Ma semaine à Tokyo, en juillet 2023, reste un souvenir empreint d'amertume. Après trois mois sur les routes d’Asie, dont deux en solo, imposés par une rupture amoureuse inattendue, je commençais à souffrir du mal du pays et d’une profonde solitude. À cette période, j’ai ressenti combien la présence régulière de mes proches est essentielle pour préserver mon équilibre intérieur. Mon système immunitaire en avait également assez de lutter contre les variations brutales entre la climatisation glaciale à l’intérieur et la canicule brûlante à l’extérieur. Résultat : je n’ai pas profité de Tokyo comme j’aurais pu, dû ou voulu. J’ai évité les rencontres, préférant rester dans mon dortoir pour lire, dormir et regarder des séries. Un festival de lanternes a apporté un moment de poésie à ce séjour… Me rapprocher de l’Europe, en passant quelques jours aux Émirats arabes unis, m’a ensuite redonné de l’énergie mentale. Voyager émerveille, mais demande tant d’énergie… parfois plus que celle que l’on possède.
Mes indispensables ?
La trousse de toilettes avec crochet pour la suspendre partout, des sacs légers pour organiser les affaires, un kit de secours, mon téléphone et de petits cadeaux à offrir au gré des rencontres...
Mes dépenses inutiles ?
Un sac lave-linge jamais utilisé lors de mes épopées de plusieurs mois en sac à dos, et un coussin de voyage plutôt encombrant, alors que je ne dors jamais en position assise dans les transports.
Mes applications fétiches ?
Les classiques : Booking, Google Maps, Revolut, Whatsapp Les pratiques : Duolingo, Xe Money Transfer & Converter Les passe-temps : Netflix, Rakuten Kobo, Spotify
Mes rituels ?
Je collectionne tout ce qui peut être collé dans un album souvenirs (billets, cartes, prospectus, tickets d'entrée...) et n'oublie jamais de compléter la collection de magnets sur le frigo familial.
Mes indispensables ?
La trousse de toilettes avec crochet pour la suspendre partout, des sacs légers pour organiser les affaires, un kit de secours, mon téléphone et de petits cadeaux à offrir au gré des rencontres...
Mes dépenses inutiles ?
Un sac lave-linge jamais utilisé lors de mes épopées de plusieurs mois en sac à dos, et un coussin de voyage plutôt encombrant, alors que je ne dors jamais en position assise dans les transports.
Mes applications fétiches ?
Les classiques : Booking, Google Maps, Revolut, Whatsapp Les pratiques : Duolingo, Xe Money Transfer & Converter Les passe-temps : Netflix, Rakuten Kobo, Spotify
Mes rituels ?
Je collectionne tout ce qui peut être collé dans un album souvenirs (billets, cartes, prospectus, tickets d'entrée...) et n'oublie jamais de compléter la collection de magnets sur le frigo familial.
Un moment où je me suis aventurée loin de ma carapace ?
Le souvenir de mon « excursion dans l’enfer de la jungle laotienne » me revient aussitôt. À Nong Khiaw, petite ville à quelques heures de Luang Prabang, j’avais prévu une journée mêlant bateau et randonnée, avec des arrêts pour découvrir les attractions locales. Mais un cocktail malheureux – courbatures, statut de moins sportive du groupe, et une chaleur humide avoisinant les 40 °C ressentis – m’a vite mise en difficulté. Épuisée par une montée trop rapide pour moi, j'ai fait une crise de panique. L’humidité étouffait ma respiration, et la peur liée à la distance avec mes proches et au voyage en solo m'a submergée. Un immense merci au couple de retraités australiens qui m’ont attendue, encouragée, et surtout rassurée quand j’ai été attaquée par des fourmis rouges et des sangsues. Je ne sais pas si j’admire leur sang-froid, ou suis effarée en pensant qu’ils vivent cela régulièrement… Ce jour-là, j’ai en tous cas repoussé mes limites physiques et mentales. Pourtant, la matinée avait bien commencé, avec une promenade en bateau dans un décor paradisiaque !
Mes découvertes culinaires ?
Pour ne citer qu'elles... les lángos très copieux en Hongrie, les spécialités à base de yuba au Japon, le fantastique khao soi du nord de la Thaïlande, et les pastéis de nata gourmands au Portugal.
Mes mauvaises surprises ?
Je n'ai pas réussi à finir mon assiette de sundae en Corée du Sud (un équivalent du boudin noir) et de Labskaus à Hambourg (du boeuf mouliné, servi avec du hareng, de la betterave, un oeuf et des cornichons).
Mes coups de coeur ?
L'île des femmes de la mer sur les plongeuses de Jeju de Lisa See, Les Japonais de Karyn Poupée, tous les Guides du Routard, la série policière sur Bangkok de John Burdett, pour ne citer que quelques exemples récents.
Mes flops lecture ?
J'ai simplement eu du mal à rentrer dans les histoires, loin de moi l'envie de critiquer les auteurs ou de remettre en cause leur travail : Warcross de Marie Lu, Hors Sujet de Natacha Dann, Épépé de Ferenc Karinthy.
Mes découvertes culinaires ?
Pour ne citer qu'elles... les lángos très copieux en Hongrie, les spécialités à base de yuba au Japon, le fantastique khao soi du nord de la Thaïlande, et les pastéis de nata gourmands au Portugal.
Mes mauvaises surprises ?
Je n'ai pas réussi à finir mon assiette de sundae en Corée du Sud (un équivalent du boudin noir) et de Labskaus à Hambourg (du boeuf mouliné, servi avec du hareng, de la betterave, un oeuf et des cornichons).
Mes coups de coeur ?
L'île des femmes de la mer sur les plongeuses de Jeju de Lisa See, Les Japonais de Karyn Poupée, tous les Guides du Routard, la série policière sur Bangkok de John Burdett, pour ne citer que quelques exemples récents.
Mes flops lecture ?
J'ai simplement eu du mal à rentrer dans les histoires, loin de moi l'envie de critiquer les auteurs ou de remettre en cause leur travail : Warcross de Marie Lu, Hors Sujet de Natacha Dann, Épépé de Ferenc Karinthy.
Si je devais partir demain, où irais-je ?
J'hésiterais longuement, tiraillée entre l'envie de découvrir de nouvelles destinations et celle de revisiter les endroits que je décris dans mes articles... cher voyageur, chère voyageuse, j'espère que tu en sais un peu plus sur moi et n'hésite pas à feuilleter mes carnets de voyage si tu souhaites voyager un peu plus à mes côtés. Bonne lecture !
Pourquoi Voyage & Carapace ?
Le nom de ce blog est un clin d’œil à mon surnom, Lulu la tortue. Il porte aussi l’idée que chaque voyage est une occasion de sortir de sa carapace, de s’aventurer hors de son refuge pour mieux le retrouver. Nous aimons tous la sécurité de nos routines et de nos repères. C’est précieux, parfois même vital. Pourtant, y rester trop longtemps, c’est comme forger une coquille trop rigide qui nous empêche d’accueillir les rencontres, les expériences et la magie des imprévus.
Voyager, c’est apprendre à équilibrer cette tension, et c’est ce que j’ai à cœur de partager dans mes Carnets de voyage, ces pages où je raconte l’aventure, les moments d’introspection, les impressions fugaces qui colorent chaque journée.
Avant, ou en parallèle de ma passion du voyage, je suis une expatriée qui a fait de sa vie un voyage à part entière. Le dépaysement invite à se remettre en question, à s’adapter, à recréer un cocon loin de chez soi. C’est s’ouvrir à une autre culture, traverser solitude, découragement et accueil, et s’enrichir du changement. Autant de réflexions que j’explore dans Vis ma vie d’expatriée.
Et puis, il y a mes autres centres d'intérêts, ceux qui illuminent mon quotidien : la gourmandise, la lecture, le dessin. Dans Billets d’humeur, je livre mes découvertes, pensées et projets du moment. Car la vie de voyageuse et d’expatriée mêle aventures et doux moments pour se recentrer, recharger ses batteries et faire mûrir ses rêves.